Sidi Mohammed et sa mère rendent visite à Lalla Aîcha qui habite une maison simple mais où il fait bon vivre. Lalla Zoubida rend visite à Lalla Aicha, celle-ci lui réserve une surprise. La petite fille qui aimait trop les allumettes de Gaétan Soucy est un roman qui traite du passage de l’enfance à la vie adulte à travers un parcours inusité et troublant. Au souk, le père se dispute avec un dellal. Le départ du père est vécu comme un grand drame chez le narrateur, la souffrance et la maladie sont au menu de tous les jours et marquent le quotidien de la maison. Après le dîner, la mère raconte au père le drame de Moulay Larbi avec son associé Abdelkader, qui a nié tout ce que son patron avait fait pour lui venir en aide. La boite à merveilles études panoramique Dans son roman intitulé la boîte à mrrveille, Ahmed Sefrioui nous plonge profondément dans l’univers d’un petit enfant lié « intimement » à une boîte secrète capable de le transporter au-delà de la réalité. Tandis que les bambins de l’école coranique aiment jouer, imiter, grignoter…), La séance du bain maure ( séance infernale). L’enfant devient vraiment malade, sa mère est folle de peur. Le mari de Lalla Aïcha arrive, sa femme le rejoint dans la chambre. La mère du narrateur, comme il la décrit, avait des talents dans l’art de raconter et imiter les personnages de ses récits. Le surlendemain à l’aube, le père quitte sa maison. Le Msid : comparaison entre Sidi Mohamed et ses camarades de classe ( le petit enfant opte pour l’invisible, ses véritables amis sont des personnages imaginaires et les objets de sa boîte à merveilles. A la maison, le narrateur joue avec ses objets de la Boîte à Merveilles, surtout le cabochon que lui avait offert Rahma. Le lendemain Lalla Zoubida demande à Mâalam Abdeslam de lui acheter une. Finalement, le narrateur nous relate le drame de la lessive entre sa mère et Rahma, la voisine, un bien long récit qui se clôt sur l’évanouissement du narrateur. La boîte à merveilles - Résumé de cours, La Boite à Merveilles (Roman autobiographique), Français: 1er BAC Lettres et Sciences Humaines, AlloSchool Solidarité des voisines. Elle est issue de la Tunisie, de l’Algérie et du Maroc et produite par des auteurs autochtones, c’est à dire originaires du pays. Il passe la matinée à l’école coranique jusqu’à l’heure du déjeuner, le fqih, un maître sévère et sans pitié, lui fait signe de partir. Sidi Mohamed joue à la trompette. La boîte à merveilles présente une séquence sur la vie d’enfance d’Ahmed Sefrioui. Rentré chez lui, le narrateur trouve sa mère absente en visite chez Lalla Aicha ( inquiétude de l’enfant). Grâce à la boite à merveilles, Sidi Mohamd s’échappe d’un monde de contraintes et d’incompréhension pour inventer un monde de rêve et de mystère. L’amie de la mère, revenue de sa chambre, raconte à voix basse, en pleurant, les ennuis de son mari. Le narrateur parle aussi de Driss le teigneux, l’ouvrier qui vient le matin pour acheter les provisions, et au milieu du jour chercher le déjeuner de son patron (le père du narrateur). Dans leur chambre, l’enfant et sa mère attendent l’arrivée du père. Une certaine atmosphère de joie et de beauté enveloppe le msid et tout le quartier. Le narrateur adulte souffre d’insomnie et fait état de sa solitude  ( motifs de l’écriture autobiographique). Résumé publié par Miss Sara Touzani : Ahmed Sefrioui, ou Sidi Mohammed, évoque son enfance passée à l'ancienne Médina de Fes. Le matin suivant, la mère empêche l’enfant d’aller au msid, il doit l’accompagner à la kissaria pour acheter de nouveaux habits, il est donc si heureux qu’il pardonne à tout ce qui était source de malheur pour lui! Libellés : 1ere annee bac, bac, bac francais, Figure de style, La boite à merveille résumé chapitre 5, oeuvre, resume, résumé chapitre 5, résumés de tous les chapitres « Precedant Suivant » Accueil La Boîte à merveilles, roman autobiographique d'Ahmed Sefrioui ancré* dans le Maroc des années cinquante, dans la médina de Fès plus précisément, raconte l'enfance de Sidi Mohammed, un petit garçon de six ans constamment animé* par le désir d'apprendre et … Le narrateur fait la description du chemin vers la maison de Lalla Aïcha en racontant la visite de Sidi Ahmed Tijani, la scène du marchand coléreux, et le dialogue à propos du bureau des chrétiens. Le Fqih explique ses projets pour la fête d’Achoura. Epris par la musique des syllabes du dialogue des femmes, l’enfant oublie le verre qu’il tenait à la main, le thé se répand sur ses genoux. C’est le moment ou l’auteur adulte commente, explique ou donne des informations sur un personnage ou un événement. Le père annonce à sa famille qu’il a perdu son capital au souk des enchères aux haiks. La Boîte à merveilles est un roman autobiographique de l'écrivain marocain Ahmed Sefrioui, publié en 1954. À caractère ethnographique, le roman fut longtemps considéré comme le premier roman marocain écrit en français sous le protectorat français avant que ne soit réhabilité le récit Mosaïques ternies d' Abdelkader Chatt, publié en 1932 sous le nom de plume de Benazous Chatt. La visite chez Sidi El Arafi ( un non voyant capable de voir la lumière cachée au fond des coeurs des hommes), Lalla Zoubida annonce à son fils son intention de le garer à la maison pour l’emmener chaque jour prier sous la couple d’un saint ( visite des principaux marabouts de la ville de Fès). La boîte à merveilles = boîte à rêves = remède à sa solitude. Le soir, le père arrive avec les bracelets, mais la mère refuse de les prendre au début, avant de les tenir enfin sans les regarder face à l'insistance du père. [p-p: 121-150], C’est le retour de la monotonie après les journées agitées d’Achoura. L’après-midi serait consacré à la récitation de tous les chapitres appris depuis le premier jour de chaque élève au msid. La nuit de l’enfant était peuplée de cauchemar. Les élèves décorent le msid avec des lustres, besogne qui ne s’est terminée qu’avant le coucher du soleil. La Boîte à merveilles est un roman autobiographique de l’écrivain marocain Ahmed Sefrioui, écrit en 1952 et publié en 1954. Chez Fatma Bziouya, Lalla Zoubida découvre la lampe à pétrole, elle est éblouie de son pouvoir! Sidi Mohamed est nommé chef des frotteurs. “La boîte à merveilles” est un roman autobiographique d’Ahmed Sefrioui, publié en 1954 et qui appartient à la littérature marocaine d’expression française. Il explique ensuite pourquoi il n’avait pas d’amis. La Boîte à Merveilles Résumé général. Salama, la marieuse professionnelle, raconte son rôle qu’elle a eu dans le remariage de Moulay Larbi, elle affirme qu’il a des ennuis avec sa nouvelle épouse. Jeudi suivant, pour remercier Dieu, Rahma organise un repas pour les pauvres. [p-p: 151-172], L’enfant, souffrant de fièvre, ne se réveille que le lendemain soir, et malgré sa faim il ne peut rien manger. La disparition de Zineb et sa retrouvaille étaient l’occasion d’organiser un repas de charité en guise de remerciements à dieu. A la maison, la mère est ennuyée car elle n’a plus de pétrole pour la lampe. Arrive ensuite le tour de la mère: elle sort une perle noire à dessins multicolores. ( le jeu s’achève par une dispute et des hurlements). Partager. Copyright © 2020 JeRéussirai.com | Tous droits réservés. Zoubida raconte les détails de ce drame au père, après le dîner, et comment, accompagnée de Fatma Bziouya, elle a pu la trouver à la maison des Idrissides (Dar Kitoun). Celle-ci annonce que son mari l’a abandonnée et s’est remarié avec la fille du coiffeur. Il se trace un programme: jusqu’au déjeuner il apprend avec ferveur ses versets, et l’après-midi, en faisant semblant d’apprendre, il donne libre cours à ses rêves où il se voit tantôt petit prince, tantôt l’homme qu’il souhaite devenir plus tard. La boîte à merveilles offre une grande place à la dimension ethnographique. Vient alors une description des objets de la Boîte à Merveilles et la relation que l’enfant entretenait avec eux, ils lui portent secours dans les heures de chagrin. Après l’avoir transformée, en la nettoyant, en or pur, le chat de Zineb la vole et prend la fuite! Présentation des locataires de Dar Chouafa. Le moment de rétrospection ( le retour en arrière) ou le narrateur évoque des événements antérieurs qu’il a déjà vécus lorsqu’il était encore enfant. Les premiers jours de printemps : le narrateur et sa mère sont invités chez Lalla Aicha ( les deux femmes se livrent à leurs commérages). On assiste ensuite à une scène rapide de douche non son violence dont le héros n’est autre que Sidi Mohammed. La mère, l’enfant et la voisine reviennent à la maison pour attendre et pour pleurer. Le narrateur insère ensuite un récit raconté par une voisine de Lalla Aïcha (une mise en abyme) et qui était inachevé. Pour soulager son fils, le père se met à raconter l’histoire de Sidi… qui suit les cortèges funèbres. [p-p: 99-120], Deux jours avant Achoura, les femmes s’achètent des tambourins et des bendirs, le bruit de ces instruments accompagné de chant berce le quartier. Elle est son bien personnel qui lui permet de s’enfuir du monde des adultes et des banalités de la vie quotidienne. Background. Les premières lignes de l'œuvre nous présentent un narrateur adulte qui souffre d’un sentiment de solitude si intense qu’il ne dort pas le soir. Hammoussa, l’élève le plus petit de taille de l’école, vient chercher Sidi Mohammed, le fqih a besoin de lui. ( Description de son cortège funèbre). Il habite avec sa famille à Dar Chouafa, la Maison de la voyante, au fond d’une impasse. Lalla Zoubida reçoit la visite de Lalla Aicha. Les femmes se procurent de belles robes et les enfants exhibent* fièrement leurs nouveaux vêtements. Il décrit ensuite les rituels des cortèges d’enterrement. Quand les deux personnages sont revenus à dar chouafa, Rahma les invite un instant, le narrateur nous décrit la chambre de cette voisine. A trois heures du matin, Lalla Zoubida réveille son fils, difficilement, il quitte son lit pour aller fêter Achoura avec les camarades au msid. Une agitation fébrile* gagne tous les habitants de Dar Chouafa ainsi que ceux des quartiers voisins à l'occasion de Achoura. Dès le lendemain, le héros n’irait plus au msid durant l’absence du père, il est malade, et sa mère souffre de la solitude. Rahma organise un repas pour les pauvres à l’occasion du retour de Zineb. Extrait du résumé du livre “La boîte à merveilles” Il évoque ensuite le souvenir du bain maure qu'il déteste et sa Boite à Merveilles qui renferme ses objets, amis imaginaires. Rentrée chez elle, Lalla Zoubida raconte à Fatma Bziouya, puis à Rahma (la perte de Zineb était une occasion pour la réconciliation des deux femmes) les soucis de Lalla Aïcha: elle a vendu ses bijoux et les meubles de son ménage pour aider son mari à ne pas perdre son atelier et garder son travail de babouchier. Driss El Aouad arrive de son atelier, il monte saluer le père, il apporte une nouvelle, le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été prononcé la veille. [wpdevart_facebook_comment curent_url="" order_type="social" title_text="" title_text_color="#000000" title_text_font_size="22" title_text_font_famely="monospace" title_text_position="left" width="100%" bg_color="#d4d4d4" animation_effect="random" count_of_comments="3" ]. Le Msid, un espace étouffant ( le mardi est un jour néfaste pour les élèves du Msid, car ils doivent réciter les quelques chapitres du Coran qu’ils avaient appris). Il a frésuenté l’école coranique puis le collège Moulay Driss. Chapitre 2 « la boite à merveille » : (résumée/événements principaux/question). L'œuvre s’ouvre sur un passage dans lequel le narrateur adulte décrit son présent où un sentiment de solitude, très ancien, le prive de dormir le soir quand les autres dorment. Lalla Aïcha, quant à elle, sort un petit coquillage qu’elle remet à Sidi El Arafi, son discours la fait pleurer. Il examine aussi certains faits passés à travers sa conscience et sa vision actuelle. Le lendemain, l’enfant et son père vont au souk pour acheter des jouets et passer chez le coiffeur Si Abderrahman que Sidi Mohammed n’aime pas. La mère du narrateur hésite un peu, puis finit par accepter sous l’insistance de la visiteuse. Lalla Zoubida emmène Sidi Mohamed à la kissaria pour lui acheter des vêtements à l’occasion d’Achoura. Il décrit également la maison de Lalla Aïcha qui parait maintenant un lieu bien misérable. Ainsi, les auteurs se servent du français qui devient la deuxième langue officielle de tout le Maghreb. Il menait une vie tranquille auprès de sa mère, femme au foyer, et son père, tisserand. Souffrance de l’enfant, il a perdu son aptitude à imaginer. RÉSUMÉ. L’enfant suit attentivement la conversation des deux femmes qui parlent des voisines et de bien d'autres sujets. L’après-midi serait consacré à la récitation de tous les chapitres appris depuis le premier jour de chaque élève au msid.A la maison, l’enfant trouve que sa mère souffre d’une terrib… La littérature maghrébine d’expression française a vu le jour au lendemain de la seconde guerre mondiale, dans les pays du Maghreb. La disparition de Zineb au mausolée des Idrissides. Le narrateur nous raconte comment son père est devenu tisserand après avoir quitté son village situé à une cinquantaine de kilomètres. Le soir, Sidi Mohammed sort sa Boîte à Merveilles, mais ses objets refusent de lui offrir l’enchantement désiré, il se met à pleurer. Le lendemain, encore des équipes, Sidi Mohammed est nommé alors chef des frotteurs ! Oeuvres du régional : La boite à merveilles à l'examen du français 1ere bac : “La boîte à merveilles” est un roman autobiographique d’Ahmed Sefrioui, publié en 1954 et qui appartient à la littérature marocaine d’expression française. Le récit de Salama reprend, elle parle des difficultés de Moulay Larbi et de ses problèmes avec sa jeune épouse et sa mère. Le narrateur revient chez lui tout fier de sa journée. Le nettoyage du Msid : le fqih distribue les travaux et forme des équipes. Critique du fqih : un personnage sévère et autoritaire. La Boîte à Merveilles est un roman autobiographique de l'écrivain marocain Ahmed Sefrioui, publié en 1954. Le narrateur relate aussi ses journées au Msid auprès du Fqih et de ses condisciples et présente le monde de Da Chouafa et les habitudes de ses habitants. Ensuite, la scène de la femme étrangère qui a grondé Sidi Mohammed et qui a failli provoquer une dispute. Driss El Aouad va en chercher dès que Rahma l’a mis au courant. La Boîte à merveilles is an autobiographical 1954 novel by writer Ahmed Sefrioui. Une autre femme arrive pour demander de la menthe, c’est Zhor, elle rejoint le groupe des femmes et se met à leur dévoiler quelques détails sur l’histoire du malheureux Moulay Larbi. De retour à la maison, Lalla Zoubida fait part à son mari des ennuis de son amie. Pour un va et vient entre le narrateur adulte et le narrateur enfant, le lecteur entre dans son monde solitaire qui, malgré quelques timides amitiés, ne semble compter comme véritable ami que sa boîte à merveilles. Sidi Mohamed se fait griffer par un matou dans la cour de la Zaouia, il bénéficie d’un repos de 2 jours de convalescence : il assiste au cérémonial des matinées, reçoit 2 beignets de Fatma Bziouya et un cabochon de verre de Rahma). La maison porte ce nom parce que effectivement une Chouafa,voyante, y habite. Le narrateur relate ensuite un discours du père sur Abdallah l’épicier. [p-p: 40-55], Sidi Mohammed et sa mère, dans les premiers jours du printemps, rendent visite à Lalla Aïcha qui habite dans l’impasse de Zankat Hajjama. La symphonie des trois saisons... Premier roman de Sefrioui, La boîte à merveille, une suite de scènes et de tableaux, raconte la vie quotidienne d’une famille populaire dans la vieille ville de Fès. Le même jour, Rahma a perdu sa fille Zineb au milieu de la foule en route vers un baptême. Tout le monde récite la fatiha. Il remonte à son enfance et cède la parole au narrateur enfant, Sidi Mohammed. Le résumé : La boîte à merveilles présente une séquence sur la vie d’enfance d’Ahmed Sefrioui. [p-p: 222-239], C’est un matin joyeux, les femmes de la maison, à tour de rôle, chantaient un couplet ou une cantilène. Les voisines proposent chacune un remède. Il a exercé plusieurs emplois : interprète journaliste pour le quotidien nationaliste “Action du peuple”; sous directeur du musée Al Batha à Fès puis fonctionnaire aux ministères de la culture , de l’éducation nationale et du tourisme à Rabat. Il effectue un retour sur son passé, une espèce de rétrospection ( l’emploi des temps du récit) et ne parle que de sa vie ( l’emploi de la 1ère personne : Je; nous; ma ; mes ; notre…,), des moments et des événements qui l’ont marqué. De retour , la mère raconte les malheurs de Lalla Aicha à toutes ses voisines : ( Lalla Aicha a vendu tous ses biens pour aider son mari à remettre en marche son atelier). Revenu à la maison, l’enfant a peur car il est seul, sa mère était sortie avec Lalla Aïcha avant son arrivée. Dès son ouverture, le roman ne manque pas d’installer une ambiance exotique. Résumé : Le narrateur Sidi Mohamed a peur du mardi car il doit, comme tous bambins du Msid, réciter les chapitres de Coran appris depuis l’entrée à l’école. Il s’agit d’une œuvre qui se lit à plusieurs niveaux, ponctuée çà et là de traces intertextuelles repérables, pour la plupart, à la deuxième lecture. Or ,dans la boîte à merveilles, la forme d’écriture tient à la fois de l’autobiographie et du roman. Le lendemain, l’enfant ne va pas au msid. Les premiers jours de printemps, Lalla Zoubida et son fils rendent visite à lalla Aicha. L'histoire: La Boîte à Merveille. L’enfant, quant à lui, a droit à une longue trompette. Elle annonce à son amie que Moulay Larbi, son mari, a épousé la fille du coiffeur Abderrahman. Lalla Zoubida n’accepte pas les bracelets croyant qu’ils attireront malheur à son foyer. Libellés : 1ere annee bac, bac, bac français, boîte à merveille, La boite à merveille résumé chapitre 2, resume, résumé chapitre 2, résumés de tous les chapitres « Precedant Suivant » … C’est un des premiers livres écrits en français par un auteur marocain. [p-p: 78-98], Les préparatifs de la fête d’Achoura commencent. [p-p: 173-198], Les deux femmes et l’enfant arrivent chez Sidi El Arafi grâce aux renseignements des gens de son quartier. Hamoussa l’interrompt et lui demande de rejoindre ses camarades au Msid afin de participer à l’équipement des lustres. Description du voyage vers le sanctuaire de Sidi Ali Boughaleb. Un inconnu vient de la campagne, il apporte des provisions, de l’argent et quelques nouvelles, c’est le messager de Si Abdeslam. La femme souffrante s’apprête à sortir, le narrateur nous présente une description de ce qu’il garde encore sur l’ancienne voisine. Après le déjeuner de fête, Lalla Aicha fait à la famille une visite surprise. Il est obligé de quitter sa famille pour travailler comme moissonneur aux environs de Fès. Cette scène se termine par un drame: l’enfant reçoit un magistral coup de griffe d’un chat qu’il voulait caresser (il y a beaucoup de chats dans ce mausolée), il pleure alors jusqu’à son arrivée à la maison. Chemin faisant, la mère rencontre une voisine de Lalla Aïcha et entame avec elle une longue conversation sur l’affaire Moulay Larbi. Sidi mohamed profite de l'occasion pour jouer … Le roman ne manque pas d’instaurer une ambiance exotique avec notamment un regard d’une beauté frappante sur un monde particulièrement rempli de parfums et de tendresse. Après la prière de l’Aasser, le père vient chercher sa femme et son fils pour partir, Fatma Bziouya les accompagne. Sidi Mohamed se sent encore une fois seul, écarté du monde des adultes, mais comprend que lui aussi a ses propres amis ( les occupants de sa boîte à merveilles). Pour les élèves, c’est une occasion pour éviter les leçons et les récitations. Les enfants sont libérés le soir après les rituels de coutume. Visite de Lalla Aicha : Lalla Zoubida souffre d’une terrible migraine + La pâleur de Sidi Mohamed. Chapitre I : Le narrateur adulte fait état de la solitude qui semble être son lot quotidien depuis l'âge de six ans. A la maison, l’enfant trouve que sa mère souffre d’une terrible migraine (elle a mal à la tête). Lalla Zoubida reçoit la visite d’un messager de la part de son mari. Le père à son tour se charge de raconter les histoires d’Abdellah l’épicier. La veille de l’Achoura : les femmes s’achètent des tambours et des bendirs. Si le roman autobiographique reprend des éléments très proches de la vie de l’auteur, il autorise des transformations de la réalité ( changement de nomes de personnes, transformation de certains faits). A la fin de cette visite, sidi Mohamed est griffé par un chat. Le héros raconte ensuite le récit de son jeu avec les enfants de la maison, avant de présenter la description des voisines de Lalla Zoubida. Il compte vendre les bracelets (que la mère n’a pas aimés, croyant qu’ils sont la cause du malheur qui entre dans leur maison) pour laisser de l’argent à sa famille pendant son absence qui durera un mois. Le but est de faire plaisir au lecteur européen curieux de connaître le secret de la vie au Maghreb, mais surtout de préserver l’identité culturelle par le biais de l’évocation des images authentiques : ( montrer que la tradition est toujours vivante et que rien ne peut l’estomper). La boîte à merveilles est un roman autobiographique dans lequel l’auteur raconte une tranche de sa vie à savoir l’enfance. L’écriture est marquée par le souci de dévoiler aux lecteurs étrangers les traditions et la diversité culturelle de la ville de Fès particulièrement. Si Abdeslam arrive plus tôt que d’habitude, la mère prépare la table pour le diner, mais personne ne mange. Lalla Zoubida rend visite à son amie Lalla Aicha dont le mari s’est remarié. C’est le mardi, jour redouté des élèves du msid. Le soir, bercé par les bruits de l’orage le son d’une flûte mystérieuse, il dort avec peine. Lalla Aïcha vient chez la mère pour une visite rapide, elle l’invite pour lui rendre visite le lendemain car elle lui réserve une surprise ! Un enfant frappe à la porte, c’est Allal El Yacoubi, un élève de l’école coranique, le fqih l’a envoyé prendre des nouvelles de Sidi Mohammed, ce dernier se cache derrière le lit, pris de panique. Le narrateur rapporte le récit de Salama, comment Moulay Larbi l’avait chargée de lui trouver une seconde épouse. Rentré chez lui, Sidi Mohamed apporte un brin de menthe à tante Kenza. it was long thought to be the first Moroccan novel written in the French language. Lalla Aicha raconte à son amie les malheurs de son mari. En revenant du m'sid, le narrateur trouve sa mère souffrante. Le père se dispute avec le courtier rusé et disparaît dans la foule. Sa chanson donnera naissance à un long dialogue entre les femmes de la maison, dont l’élément principal est le récit d’un événement qui fait rire raconté par Rahma à propos de l’oncle Othman et sa jeune épouse. Driss El Aoud annonce au père l edivorce de Moulay Larbi avec la fille du coiffeur. Rahma fait le récit du couple de Khadija, la jeune épouse avec son vieux mari l’oncle Othman. Tenaillé par la faim, il rêve au jour ou prince aimé, il offrirait un repas pour les mendiants. Par un va et vient entre le point de vue de l'auteur-narrateur adulte et de l'auteur-narrateur enfant, le lecteur entre dans le monde solitaire du narrateur qui malgré quelques timides amitiés ne semble compter comme véritable ami que la boite à merveilles. Sans plus de détails, il décrit ce qu’il voit (des souvenirs): un enfant de six ans (lui-même) qui joue et essaie d’attraper un moineau qui ne vient jamais. Cet homme sort très tôt et ne revient qu’après la dernière prière, il mange à l’atelier. Se sentant seul et triste, le narrateur recourt à sa Boîte à Merveilles où toutes ses figures de rêve l’attendent. Ainsi, l’auteur s’engage à restituer avec exactitude et fidélité son passé et s’identifie à la fois au narrateur et au personnage principal : Auteur = Narrateur = Personnage principal. Aussitôt, Zineb, essouflée, appelle Zoubida, elle apporte une bonne nouvelle: elle a vu le père du narrateur! L'auteur-narrateur personnage de la boite à merveilles raconte son enfance alors qu'il avait six ans. Après être passés par des pavés mal ajustés, un couloir sombre, des escaliers… ils finissent par trouver la chambre du voyant. L’enfant reçoit une nouvelle merveille, c’est une chaîne que sa mère lui avait donnée. Son parcours littéraire est beaucoup plus important, avec à son actif : Ahmed Sefrioui a été, jusqu’à sa mort en 2004, un grand écrivain à la plume originale et novatrice. La boîte à merveilles fait partie des œuvres programmées pour la première année du baccalauréat et qui font l’objet de l’examen régional en fin d’année.

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