personne âgée qui voit des gens
Ce qui par contre ne peut pas se produire, c’est ce que vous écrivez : J’ai peur qu’à terme, une procédure soit lancée à son encontre par la copropriété afin qu’elle soit internée d’office. Elle va jusqu’à penser que quelqu’un l’espionne. Elle a passé une IRM qui ne semble rien révélé d’important une atrophie cérébrale certainement dûe à l’âge. Je ne sais plus quoi penser. Je vous remercie pour votre soutien, je vais penser à rédiger des directives anticipées pour que mes enfants, n’aient pas de décisions difficiles à prendre et ainsi alléger leur peine. et commence dans ce cas à dire que c’est une personne qui est venu les lui prendre pour la rendre folle. Pour vous donner un avis je suis donc bien plus mal placé que les médecins qui vous connaissent. Par la suite, il y a encore eu quelques complications (bactéries, plaies au sternum qui s’est rouverte et est maintenant stabilisée mais pas encore refermée, etc... - donc sous antibiotiques depuis trois semaines, d’abord intraveineux et maintenant par la bouche, machine VAC pendant quelques jours) mais les fonctions vitales, prises de sang, tension etc... sont maintenant bonnes (pour son âge). Mais votre médecin a totalement raison de garder toutes les hypothèses ouvertes. Il a pris en compte les éléments que je lui ai rapportés, a revu son dossier, dans lequel figurait la nécessité d’un suivi en CMP (qu’elle a interrompu il y a quelque temps) bonjour Enfin il s’agit d’un sujet qui a une pratique ancienne de l’alcool. Ce qui me surprend, c’est qu’à 70 ans elle n’est pas vieille, et si elle a une insuffisance rénale majeure il faudrait savoir d’où elle vient, et pourquoi elle serait jusqu’ici passée inaperçue. Le délire n’est pas une démence. Ce qui se passe, c’est que vous l’aimez, ce mari. J’ai décidé qu’elle ne viendrait pas chez moi pour Noël mais que je lui rendrais visite en janvier, et elle s’est rendu compte que son courrier arrivait chez moi, ce qu’elle vit, et on peut le comprendre, comme une violation de son intimité. Et si son caractère a changé, il faut se demander pourquoi. Mon père plus agé et malade n’en peut plus. Après la mort de celle-ci, une certaine relation s’est rétablie entre mon beau-père très âgé et ma belle-mère ainsi que mon beau-frère handicapé lui rendant visite, ce, jusqu’au décès de celui-ci. Elle m’a parlé pendant une demi heure comme si de rien n’était et puis à l’instant, ma nièce vient de m’appeler (elle habite à 10 km de chez ma mère). la difficulté est que nous ne pouvons rien garantir ni prévoir. Mais on peut espérer effectivement beaucoup de cette prise en charge. Ce qui importe en tout cas c’est de vous protéger. Je voudrais votre avis sur deux majeurs qui ont eu des hallucinations auditives ou mauvaise interprétation de la réalité avec des croyances aléatoires sur l’identité d’une personne. Elle souffre d’arthrose aux articulations (jambes, mains,) et de ce fait a de gros soucis de mobilité + ces chutes à répétition, il a fallu se décider à la placer en maison de soins et de repos. Voilà, j’aurais aimé avoir votre avis, Docteur, parce que la situation est confuse et que le "il n’a rien" me préoccupe. C’est un homme âgé d’environ 77 ans, agriculteur, chez qui nous intervenons avec mes collègues AVS, elles, le matin pendant une heure, et moi seulement une fois par mois, à raison d’une heure pendant le weekend pour l’aide à la toilette depuis un an. Rien ne peut en être dit sans une exploration neuropsychologique approfondie. En aucun cas je ne vous mentirai. Ce n’est jamais douloureux mais c’est souvent très pénible. N’en attendez tout de même pas trop : c’est très limité, et si ça se trouve c’est totalement inadapté à votre situation particulière. Je n’en sais rien, bien sûr. Et votre mère se repère dans l’espace, peut-être parce qu’elle n’a pas (pas encore ?) Et plus encore, il faut mettre votre fille en sécurité. La volonté existe en tout cas de la développer, essayez de vous renseigner. Il a pu vous échapper qu’une soignante a informé votre mère de votre venue. Jusqu’ici vous m’avez parlé de dépression, de paniques, de paranoïa, d’hystérie… Cela me fait beaucoup ; trop. Un mot par ailleurs : comme vous l’avez remarqué les messages se décalent au fur et à mesure des échanges. Elle ne peut s’expliquer que si la malade, bien plus lucide qu’on ne pense, sur sa situation, a enfin consenti à baisser la garde. C’est une personne qui a vécu beaucoup de traumatismes. Comment votre relation va-t-elle survivre à ce coup de force ? Mon grand pére est un homme trés dur, macho …. Depuis plusieurs mois elle a des grosses douleurs au dos. Je ne sais pas à quel jeu il joue et je ne sais plus que faire. Mais je note que votre père prend de l’Effexor, qui est un antidépresseur. Elle tient notamment, bien sûr, au fait que vous êtes, à cause de la distance, relativement impuissante. Rien n’est plus mal connu que la gérontopsychiatrie, et la première chose à faire est d’essayer de se repérer. Portés par le désir de rendre service et de réussir les travaux entrepris, nous réussissons à sortir ce buffet, mon père à une extrémité avec une sangle autour du coup, mon fils et moi à l’autre. Que va-t-il se passer maintenant ? Vous ne me parlez pas de tranquillisants ; il est vrai qu’ils ont fort mauvaise réputation chez le dément, et qu’on préfère les éviter. Un argument de plus se trouve dans le fait qu’elle semble assumer parfaitement la vie quotidienne. Danielle. Le reste viendra après. De plus, le cercle CHU est très petit, les connaissances de personnels médicales sont non méconnaissables, car les parents de cette victime étaient du personnel médical des CHU de la Réunion. maman a 88 ans. Mais votre belle-mère ne voudra pas, bien sûr ; et c’est sa liberté. Je sais bien que ma réponse est pauvre, mais je ne peux aller plus loin : il faut voir le cas. Elle oublie, dort beaucoup pendant la journée et est éveillée la nuit, ne se souvient plus où elle se trouve ni quel jour on est. J’ai également fait installer la télé-assistance chez elle et un bracelet pouvant lui permettre d’appeler de l’aide en cas de chute. Je vais vous les détailler un peu plus loin ; mais tout le problème est de savoir si vous êtes énervé parce que vous avez des mouvements anormaux ou si vous avez des mouvements anormaux parce que vous êtes énervé. Merci de bien vouloir m’éclairer. Il y a des délires chez le sujet âgé ; tout ce que je peux dire c’est que je me méfie toujours des vieilles personnes qui ont des troubles sensoriels, notamment auditifs, parce que c’est un facteur prédisposant à certains types de délire. Et vous ne vous y attendiez pas. Mais je ne serais pas étonné s’ils confirmaient l’hypothèse de démence, et s’ils ne concluaient pas que le moment de l’institution est arrivé ; ce qui me le fait dire c’est que vous décrivez très bien les éléments qui font suspecter que son aptitude à assumer la vie quotidienne se dégrade maintenant depuis longtemps. Je lui ai demandé ce qu’il avait, elle m’a parlé de démence vasculaire, me disant que n’importe quel docteur pouvait voir qu’il présentait une démence, que les examens ne serviraient à rien. Je serais heureux d’être tenu au courant. Le délire se rencontre chez environ 10 à 40 % des personnes âgées admises à l'hôpital. Mais si vous aviez évité cette brutalité vous auriez pris, je crois, un risque inconsidéré. Elle a toujours eu peur de tout, je l’avais emmené voir un psychiatre , qui la suivi plusieurs années. Certains jours elle est parfaitement normale, à un point étonnant, et puis à d"autres, de nouveau perdue, ne se rappelant pas le nom de sa nouvelle aide ménagère ou étant persuadée qu’elle n’est venue qu’une fois dans la semaine alors qu’elle est passée quatre fois.. on verra bien merci encore pour vos conseils Si l’on voit une personne âgée et lui déplaît dans le rêve, cela signifie qu’il va déplaire à un ami proche ou rejeter son conseil. Quelle peut être la suite ? Mais le problème est qu’il faut pour cela examiner le malade, et que nous savons très bien qu’il ne va jamais l’accepter. Elle a été hospitalisée deux fois récemment aux urgences, la dernière fois pour un taux d’INR très élevé (on pense qu’elle a dû mélanger ses médicaments). La première hypothèse est que ce sont ses oreilles qui produisent les bruits. Elle fait partie de ces maladies dont le diagnostic se fait sur l’accumulation d’indices, aboutissant à une plus ou moins forte probabilité (d’autant plus qu’il est un peu illusoire d’espérer trouver un jour une lésion spécifique). Mais ne vous inquiétez pas : c’était une tentative inutile, pas une tentative dangereuse, et la rupture qui s’en est suivie aurait eu lieu de toute façon. En mai 2016 mon père a été opéré d’un hématome sous dural chronique (suite à chute dans baignoire) et bien entendu des délires ont suivi. Je crois que votre position est la seule bonne : considérer qu’il exerce sa liberté, constater que le risque médical n’est pas forcément énorme chez une vieille personne qui n’a plus le temps de de détruire avec l’alcool, et pour autant manifester votre réprobation : le pire serait de lui mettre en scène que cela ne vous intéresse plus. Vous auriez pu surseoir à l’hospitalisation, mais là aussi cela comportait un risque dont l’importance est difficile à évaluer. Or il semble évident qu’elle a perdu le contact avec la réalité. La personne âgée est amenée à accepter (ou non) qu’elle n’est plus le maître de ce corps vieilli et/ou malade. J’ai appelé les pompiers et ça c’est fini à l’hopital. Mais… il manque quelque chose d’essentiel : que dit-elle de ce qui lui arrive ? D’abord parce que votre situation n’entre pas dans mon domaine de compétence. Ils ne se sont pas prononcés sur l’Aricept, puisqu’il était déjà prescrit, mais ils ont continué à proposer antidépresseurs et neuroleptiques, avec des ordonnances assez complexes, qui m’incitent à penser qu’ils jugent la situation délicate. Depuis 8 à 10 jours, elle a subitement été victimes d’hallucinations. La situation familiale étant très complexe depuis très longtemps, je me concentrerai sur un seul point. Bien sûr la pathologie dégénérative de type Alzheimer est l’obsession, notamment à cause de sa fréquence. L’EHPAD qui l’a en charge a pris deux décisions : la séparer de son ami, et la faire hospitaliser. Je m’adapte en effet, je ne contredis jamais rien, et quand c’est fini, ma mère revient toute seule à l’état précédent. Pas facile. J’oubliais, ma mère vois un neurologue demain soir. Les choses se passent autrement. son fils habite dans le même immeuble il vient la voir aussi tous les soirs. Malheureusement c’est aussi assez classique. Ce que je vois c’est que le neurologue a prescrit : De l’Aricept : c’est un traitement spécifique de la maladie d’Alzheimer (je passe sur le fait qu’on l’a essayé dans d’autres types de maladie neurodégénérative, notamment les démences vasculaires). On connaît chez le sujet âgé une psychose hallucinatoire chronique, on connaît aussi un délire des cloisons, dans lequel le sujet voit passer des choses à travers les murs, etc. Un dossier d’habilitation familiale est en cours pour moi. De deux choses l’une : ou on se donne les moyens de trouver cette affection aiguë ou on ne se les donne pas Le problème ici est qu’elle sort de l’hôpital, et qu’il n’y a pas de raison de penser que la démarche diagnostique n’a pas été menée correctement. La première la plus favorable, est que votre père présente des épisodes de confusion mentale liés à une pathologie physique ; par exemple des poussées d’insuffisance cardiaque plu ou moins faciles à juguler. (Pas de morphine), Et cela est parti d’un conversation entre soignants qu’elle aurait entendue, critiquant le fait qu’elle aurait dit des choses désagréables en remplissant le questionnaire de satisfaction lorsqu’elle était hospitalisée au même endroit l’an dernier pour une prothèse de genou, Elle suppose que toutes les bribes de conversation du personnel soignant qu’elle perçoit sont dirigées contre elle, pense que l’on va lui faire “une injection létale dans la nuit, ne veut pas manger ce qu’on lui apporte de peur que ce soit empoisonné, refuse de prendre les médicaments, souhaite signer une décharge pour que je la ramène chez elle, elle voulait que je reste dormir avec elle, … En France, la majorité des personnes atteintes de la maladie d’Alzheimer ne bénéficient pas d’une prise en charge adéquate. Mais votre récit évoque au premier chef un diagnostic de démence, sans pouvoir en préciser le type, mais cela malheureusement n’a guère d’importance. On voit à quel point il peut être difficile de discriminer folie et lucidité parfaite... Dans un domaine légèrement différent, il est possible de considérer saint Paul comme un grand mystique, mais aussi comme un modèle de paranoïaque. Je suis très sensible à ce que vous racontez ; mais je sais bien que ce qui me vient ne sont que des fantasmes. Que je sois avec elle en permanence pour la protéger... de la mort. Je sais qu’elle prend des médicaments mais elle ne veut pas me dire lesquels. Ma mère vivait chez moi depuis 7 ans ma mère est donc traitée à l’hôpital, pour de l’épilepsie avec du Lamotrigine 25 mg Soit qu’il juge la situation trop dégradée pour qu’il soit réaliste de faire un essai de traitement. Ben si, il y en a 7 boites. J’ai pu réaliser que les anciens enfants dominés pensaient souvent trouver une stratégie de sortie en croyant n’éprouver que haine et/ou crainte pour leur parent dévorant, sans se rendre compte que c’était encore une autre façon de ne pas se libérer de cette figure-épouvantail avec laquelle ils ont vécu. Le problème c’est que je n’ai pas vu votre père ; je serais donc bien présomptueux de prétendre vous donner un avis plus éclairé que celui du psychiatre qui l’a examiné. Je flaire d’ailleurs que la dépression (la vraie, la grande, celle qu’on nommait jadis mélancolie) a à voir avec un délire, de type mégalomaniaque : simplement, au lieu de me prendre pour le meilleur des hommes je me prends pour le plus mauvais, tellement mauvais que la seule solution pour sauver le monde est que je me tue. C’est possible. Il peut toutefois demander s’il doit aller dormir dans sa chambre ou bien "là bas", dans un autre immeuble, ou qu’il doit acheter le terrain de sa maison. Simplement, la perte de performance intellectuelle a facilité le dérapage confusionnel au cours de cette période indécise du réveil anesthésique. En tout cas votre position est excellente : vous faites ce qui est en votre pouvoir pour assurer l’intendance, et vous veillez à ne pas vous mettre vous-même en danger. De même on a envie de vous secouer en vous disant que vous avez tout sacrifié pour votre mère, que vous êtes allée au-delà de vos forces, que vous avez non seulement fait tout ce que vous pouviez mais que vous avez fait plus que vous n’auriez dû (pour un peu on vous dirait que vous devriez avoir honte de vous sentir coupable) : mais cela non plus ne servirait à rien. Je vais essayer de trouver les réponses constat type « Je n’ai rien vu » aux phases paranoïaques. Etc. Il serait intéressant de faire intervenir un psychologue. Ceci pour 3 semaines et en chambre individuelle car elle risquerait d’attaquer tout personne partageant sa chambre. Il est prudent tout de même d’attendre, car on pourrait avoir une bonne surprise.
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